14 Si plus tard, elle ne lui plaît plus, il lui rendra sa liberté. Il n’aura pas le droit de la vendre pour de l’argent, ni de la traiter comme une esclave, puisqu’il l’a obligée à devenir sa femme.
15 Moïse dit : Supposons ceci : Un homme a deux femmes. Il aime l’une mais il n’aime pas l’autre. Chaque femme lui donne un fils, mais l’aîné est le fils de la femme qu’il n’aime pas.
16 Le jour où il va donner ses biens en partage à ses fils, il n’a pas le droit de donner la part de l’aîné au fils de sa femme préférée. Il ferait du tort à l’aîné, qui a pour mère la femme qu’il n’aime pas.
17 Au contraire, il doit reconnaître une chose : le fils de la femme qu’il n’aime pas est l’aîné. Il doit lui donner une double part de tous ses biens. En effet, c’est lui qui est son premier enfant, et il possède les droits du fils aîné.
18 Moïse dit : Supposons ceci : Un homme a un fils qui n’obéit pas et qui se révolte contre ses parents. Il n’écoute ni son père ni sa mère, même quand ils le punissent.
19 Le père et la mère doivent alors le prendre et l’amener au tribunal, devant les anciens de sa ville.
20 Ils leur diront : « Voici notre fils. Il n’obéit pas et il se révolte contre nous. Il ne nous écoute pas, il passe son temps à manger et à boire. »