25 « Quand un de vos compatriotes tombé dans la misère sera obligé de vendre une de ses terres, un de ses proches parents possédant le droit de rachat devra la racheter.
26 Si l’homme n’a pas de parent ayant un tel droit, mais qu’il trouve les moyens de racheter lui-même sa terre,
27 il calculera le montant dû à l’acheteur d’après le nombre d’années qui restent jusqu’au “Jubilé”, il le payera et reprendra possession de sa terre.
28 S’il ne trouve pas de quoi faire ce remboursement, le terrain restera la propriété de l’acheteur jusqu’à l’année du “Jubilé”. A ce moment-là, le premier propriétaire en reprendra possession.
29 « Si un homme vend une maison d’habitation située dans une ville fortifiée, le droit de rachat sera temporaire : il ne s’étendra pas au-delà d’une année à partir de la vente.
30 Si la maison n’est pas rachetée dans le délai d’un an, elle restera définitivement la propriété de l’acheteur et de ses descendants. Ils n’auront pas à la restituer lors de l’année du “Jubilé”.
31 Par contre les maisons situées dans les localités non fortifiées seront soumises aux mêmes règles que les terres du pays : il y aura un droit de rachat permanent pour une telle maison, et de toute façon elle reviendra au premier propriétaire lors de l’année du “Jubilé”.