1 La loi de Moïse n’est pas la représentation exacte des réalités ; elle n’est que l’ombre des biens à venir. Elle est tout à fait incapable de rendre parfaits ceux qui s’approchent de Dieu : comment le pourrait-elle avec ces sacrifices, toujours les mêmes, que l’on offre année après année, indéfiniment ?
2 Si ceux qui rendent un tel culte à Dieu avaient été une bonne fois purifiés de leurs fautes, ils ne se sentiraient plus coupables d’aucun péché, et l’on cesserait d’offrir tout sacrifice.
3 En réalité, par ces sacrifices, les gens sont amenés à se rappeler leurs péchés, année après année.
4 Car le sang des taureaux et des boucs ne pourra jamais enlever les péchés.