12 Et que son mari l'ayant entendu, ne lui en ait rien dit, et ne l'ait point désavouée ; tous ses voeux seront valables, et toute obligation dont elle se sera obligée sur son âme, sera valable.
13 Mais si son mari les a expressément cassés au jour qu'il les a entendus, rien qui soit sorti de sa bouche, soit ses voeux, soit obligation faite sur son âme, ne sera valable, parce que son mari les a cassés ; et l'Eternel lui pardonnera.
14 Son mari ratifiera ou cassera tout voeu et toute obligation faite par serment, pour affliger l'âme.
15 Que si son mari ne lui en a absolument rien dit d'un jour à l'autre, il aura ratifié tous ses voeux, et toutes ses obligations dont elle était tenue, il les aura, dis-je, ratifiés, parce qu'il ne lui en aura rien dit le jour qu'il l'a entendue.
16 Mais s'il les a expressément cassés après gu'il les aura entendus, il portera l'iniquité de sa femme. Telles sont les ordonnances que l'Eternel donna à Moïse par rapport à l'homme et à sa femme ; au père et à sa fille, étant encore dans la maison de son père, en sa jeunesse.