12 « Celui qui frappe et tue un être humain doit être mis à mort.
13 Toutefois s’il n’y a pas eu de guet-apens, s’il s’agit d’un accident que Dieu n’a pas empêché, l’auteur de l’accident pourra se réfugier dans un endroit que je vous indiquerai.
14 Par contre, si dans un geste de haine un homme en tue un autre, par ruse, vous l’arrêterez pour le mettre à mort, même s’il s’est réfugié près de mon autel.
15 « Celui qui frappe son père ou sa mère doit être mis à mort.
16 « Celui qui enlève une personne doit être mis à mort, qu’il ait vendu sa victime ou qu’on la trouve encore chez lui.
17 « Celui qui maudit son père ou sa mère doit être mis à mort. »
18 « Supposons que, au cours d’une dispute, un homme en frappe un autre du poing ou avec une pierre, et que la victime ne meure pas mais doive seulement s’aliter ;