17 « Celui qui maudit son père ou sa mère doit être mis à mort. »
18 « Supposons que, au cours d’une dispute, un homme en frappe un autre du poing ou avec une pierre, et que la victime ne meure pas mais doive seulement s’aliter ;
19 si elle peut de nouveau se lever et se promener dehors, avec une canne, celui qui a frappé ne sera pas condamné, à condition de dédommager la victime pour son temps d’immobilisation et de payer les frais de guérison.
20 « Si quelqu’un, à coups de bâton, bat à mort son esclave, homme ou femme, il doit être puni.
21 Toutefois si la victime survit un jour ou deux, il ne doit pas être puni, car elle était sa propriété.
22 « Si, au cours d’une dispute entre hommes, une femme enceinte est heurtée et que cela provoque un accouchement prématuré, mais sans conséquence grave pour la femme, le coupable devra payer, après arbitrage, l’indemnité réclamée par le mari.
23 Mais s’il en résulte une conséquence grave pour la femme, le coupable sera puni : vie pour vie,